Le déconfinement arrive enfin avec joie pour beaucoup mais aussi craintes, inquiétudes et peurs. Retrouver, pour la plupart, une liberté de mouvements à l’extérieur de leur domicile va procurer un grand soulagement et une probable sensation de revivre.
Mais cela ne pourra cependant faire oublier les nombreux dégâts et conséquences encore à venir (souffrances, décès, faillites, paniques, peurs, stress, ruptures, tensions, agressivité…) de cette période de confinement qui nous a été imposée pour soi-disant limiter l’étendue et la gravité d’une prétendue pandémie.

Alors comment sortir d’une telle épreuve avec son cortège de peurs, traumatisantes pour beaucoup, et qui soulève tant d’interrogations pour l’avenir ? La majorité des personnes se trouve dans une grande confusion mentale, issue de la peur qui a été instillée et de messages contradictoires qui embrouillent toute vision de la réalité et rendent bien difficiles toute prise de décision.

Cette pandémie a détourné notre attention de l’urgence à agir pour limiter les effets désastreux et dangereux du dérèglement climatique, issu de l’irresponsabilité avec laquelle l’humanité s’est comportée pendant ces dernières décennies, en laissant se développer une consommation outrancière et honteusement destructrice des ressources minérales, végétales et animales de la planète.

La manipulation médiatique sans relâche de cette phase de confinement a aussi permis de détourner l’attention de l’effondrement financier qui menaçait et qu’on cherchera sans doute à justifier par cette pandémie qui a précipité la chute de nombreux indépendants et de petites entreprises pourvoyeuses de l’essentiel de l’emploi. Ce massacre économique organisé a échappé sans doute à une majorité de salariés qui ne se sont pas rendu compte de la catastrophe que ce confinement allait produire sur le plan économique (faillites massives ou surendettements d’entreprises) et par ricochet sur le plan social (chômage, précarité, réduction des prestations sociales, faillite personnelle…).

Le plus grave est que tout cela constitue les dangereux prémisses d’une société liberticide (dictature mondiale) qui aliénera toujours plus les humains, de tous les pays car nos interdépendances, construites pour servir un capitalisme ravageur, rendent cette catastrophe et cette tendance mondiale.

Le danger immédiat est de laisser se développer une surveillance de masse par l’intermédiaire du traçage numérique (qui est la véritable et délétère raison du développement d’une 5G désastreuse pour la santé) par application téléphone et bien plus dangereusement par puçage (à l’occasion de la vaccination et même des tests de détection, dont il est prouvé qu’ils ne le détecte pas le Covid 19, et qui vont devenir un moyen puissant d’isoler, reconfiner et vacciner/pucer des personnes que l’on souhaite dans les meilleurs délais surveiller (les rebelles), utiliser pour faire pression (les enfants) ou museler/asservir (tous ceux dépendant des services d’état (salariés, allocataires, retraités).

Il est donc nécessaire de refuser urgemment ces tests pour ne pas enclencher un engrenage infernal qui deviendrait de plus en plus difficile à endiguer. On place les jeunes enfants en 1ère ligne pour mieux verrouiller leurs parents, c’est infâme ! Il faut résister à cela en demandant d’assujettir la passation de ces tests de dépistage à des autorisations parentales incontournables. Il faudrait une mobilisation massive des associations de parents d’élèves pour exiger cela dans les plus brefs délais et informer massivement de ces dangers qui menacent tout le monde à terme.

Et plus généralement que faire très vite ?
•    Surmonter nos peurs pour engager de profondes transformations individuelles nécessaires à la transition sociétale.
•    Changer nos habitudes de vie pour engager une décroissance rapide qui seule pourra sauver la Nature minérale, végétale et animale et par conséquent l’humanité qui en est indissociable.
•    Développer la sobriété qui permettra de réduire drastiquement nos consommations et gaspillages.
•    Organiser l’entraide qui permettra de produire et partager les ressources essentielles (alimentation, matériel, habitat…) au niveau micro-local (pour limiter les frais et les transports).
•    S’engager fermement dans des relations authentiques, pacifiques, solidaires et fraternelles qui rendront ces changements de vie plus supportables et qui limiteront les manipulations, aliénations, violences et destructions émanant des institutions ou de ceux qui chercheront vainement à s’enfoncer dans le matérialisme.

Pour résumer, je dirais « Moins de biens, plus de liens », comme bien d’autres avertis qui nous ont alerté sur les risques d’effondrement et nous proposent d’aller vers des modes de vie, d’habitation, d’éducation, de production, de transports et de consommation alternatifs.

Il est essentiel de renouer des contacts chaleureux avec tous ceux prêts à s’engager dans ces changements pour se soutenir moralement et s’entraider concrètement car ces liens fraternels renforcent profondément nos âmes et diminuent nos besoins de consommation matériels.
Faites-en l’expérience et réviser vos façons de vivre pour devenir pleinement acteurs et responsables de vos vies.
C’est la seule issue salvatrice pour la Nature et l’Humanité !